Sudden-Game
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 Baïka Mungo

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Baïka Mungo Empty
MessageSujet: Baïka Mungo   Baïka Mungo Icon_minitimeMer 21 Mai - 23:35

Nom : Mungo
Prénom : Baïka
Surnom : Balmung
Age et date de naissance : 24 ans, né le 30/10
Sexe et sexualité : Masculin, bisexuel à penchant homosexuel.

Famille :

La famille de Baïka était du genre très protectrice et sévère. Surtout le père et la mère car toute la famille du garçon était réuni dans une seule et même maison, ce qui était presque invivable si l'on compte qu'il avait un oncle et une tante, deux frère, une sœur, une cousine et encore un grand père en vie.
Il avait une relation particulière avec sa cousine, il entretenait parfois des rapports sexuels avec elle, étant donné qu'elle avait une forte attirance pour lui à cause de son côté fou.
Ses frères n'étaient que des boulets pour lui, il les laissait toujours derrière, ne voulant pas d'eux dans ses pattes. Il aimait à leur faire peur avec des histoires qui leur faisaient faire des cauchemars. Ils étaient pourtant plus âgés que lui... Sa soeur, il l'ignorait car elle faisait de même. Pareil pour son oncle et sa tante.
Il ne respectait que son grand père qui lui filait toujours de l'argent de poche ou des trucs pas forcément bon. En fait, ce grand père était du genre à ne pas accepter ce que faisait les parents de Baïka. Il voulait qu'il ait plus de liberté. Il était du genre à lui passer tout ce qui était combine pour voler, tout ce qui était combine pour récupérer de la drogue. Il n'était pas du tout sénile, ni dingue, il lui indiquait juste comment on pouvait survivre en prison et durant la guerre.
Quant à ses deux parents, il était toujours très mauvais avec eux. Eux aussi, dans un sens vu qu'il était régulièrement maltraité devant toute la famille. Une fois, ils n'ont pas hésité à le fouetter. Ils lui interdisaient tout, les relations amicales, les livres, les jeux vidéos, les sorties de jour ou de nuits et surtout jouer de la musique. Ca ne le gênait pas de se faire la malle. Il cachait toutes ses affaires dehors dans un coin où personne ne les trouvait et lisait, jouait de la musique.
De toute façon, ils sont tous morts.


Métier :

Baïka était du genre musicien de rue jusqu'à ce qu'il puisse monter un groupe de hard rock où il joue de la basse qui se nomme "Kene-r-dy". Il avait eu du mal à s'intégrer avec un instrument vu qu'il était un prodige en tout, en percussion, vent, cordes. Grâce à ça, il se faisait un paquet d'argent mais il a dû arrêté à cause du Sudden-gam, un jeu où il est devenu accro et il n'arrivait pas à se déplacer hors de la zone où il y avait ce jeu.
Maintenant, il ne travaille plus vu qu'il vient juste de sortir de l'hôpital psychiatrique mais on lui a proposé un boulot de restaurateur vu qu'il est plutôt bon en cuisine. Mais il ne compte pas y travailler beaucoup, préférant passer du temps sur Sudden ou à examiner de plus près Sudden Game.

Armes :
Il a une feuille de boucher qu'il a récupéré à son restaurant et un colt Smith&Wesson.

Hobbies :
Quand il a du temps libre, il veut constamment jouer à Sudden Game. Sinon, il essaye d'épier discrètement son psychologue Kimitsu Aku dont il est éperdument amoureux. Sinon, il passe son temps à jouer de tous les instruments qu'il possède et aussi sur les ordinateurs où il est devenu un crack.

Aime :
Son psychologue Kimitsu Aku. Il est tombé amoureux de lui dès le premier regard. Il savait qu'il était fait pour lui. Il aime l'odeur de la poudre des revolvers. Il adore la cigarette et les drogues en tout genre, surtout la cocaïne et l'héroïne qu'il consomme régulièrement et dont il est complètement accro. Il aime manger jusqu’à plus faim et boire jusqu’à plus soif. Ce qu’il adore par-dessus tout est jouer avec les conquêtes amoureuses en les charmants.

Déteste :
Il déteste quand les rendez vous avec son psychologue se termine. Il n’aime pas les camisoles de force ni quand il a les bras engourdis. Il déteste la sensation de manque d’endorphine, il devient particulièrement violent quand il n’a pas sa dose de drogue.

Compagnon :
Il n’a pas de compagnon. Il voudrait surtout être le compagnon de son psychologue.

Sa plus grande phobie : Perdre l’usage de ses bras.
Son plus grand désir : Pouvoir être aimé par son psychologue.
Son point faible : Sa dépendance à la drogue.
Son point fort : Ses capacités de persuasion


Physique : 6 lignes mini
Il est plutôt grand et svelte, n’ayant pas une pellicule de graisse. Il est presque à la limite de l’anorexie tellement il est mince. Son visage est fin et ses traits sont particulièrement bien dessinés. C’est grâce à ses traits qu’il a réussi à charmer un bon paquet d’être humain. Ses yeux d’un bleu profond donne l’impression que l’on s’enfonce à l’intérieur. Leur forme donne toujours confiance en la personne qui les regarde. Son sourire parait toujours sincère. En fait, il a appris à se servir de tous les muscles de son visage pour jouer avec à la perfection. Du coup, personne ne sait quand il bluffe ou quand il dit vrai tellement son visage semble dire la vérité. Ses cheveux gris sont longs jusqu’à sa nuque, flottant à chacun de ses mouvements. Le reste de son corps est comme qui dirait parfait, de belles fesses, des jambes fines et puissantes, des bras ni trop musclés, ni trop fins, un torse imberbe avec simplement de poils poussant sous le nombril en légère quantité. Cette allure lui a valu un sacré temps pour l’avoir, ayant presque fait un régime de trois ans quand il était à l’hôpital.
Ce physique lui a attiré un grand succès quand il était musicien avec son groupe de musique et il lui attire toujours plein de monde.
Signes particuliers : Il a les oreilles percées par de nombreux piercings. Il a une transversale sur l’oreille droite, quatre un anneau au lobe, plusieurs piercings sur le cartilage et pareil sur l’autre oreille sauf qu’il n’a pas de transversale.
Mental : 10 lignes mini
Pour faire simple, son état mental est un véritable bordel psychotique à un point tel qu’il a besoin d’un suivi psychologique très poussé pour vivre en société. En effet, vu qu’il a passé plus de trois années dans un hôpital spécialisé, les médicaments qu’on lui donnait ne l’ont pas aidé à se sentir mieux, ils n’ont fait qu’accentuer la frustration qui l’obsède. C’est un dingue, complètement dingue. S’il n’a pas sa dose de drogue dans le moment qui vient, il en perd la raison, allant jusqu’à tuer dans un barbarisme total. Baïka est sans doute le pire des mythomanes qui existe sur terre tellement il est facile pour lui de convaincre les autres. Il vit dans son monde, un monde où il est capable de tout faire grâce à la mythomanie. Ce fou est aussi un nymphomane de première classe, cherchant à tout prix l’acte sexuel avec la personne qu’il chauffe ou qui essaye de le chauffer sauf pour une seule personne, son psychologue. On peut le qualifier de nymphomane parce qu’il agit comme les femmes qui sont atteints par ce genre de trouble, il cherche, allant jusqu’à coucher avec quelqu’un de sa famille s’il le faut pour assouvir ses fantasmes. Face à chaque personne, il est quelqu’un de différent, essayant d’être la personne idéale pour chacun des êtres qu’il croise et qu’il trouve potentiellement intéressant à traquer. Il n’y a que face à une personne qu’il est lui-même, Kimitsu Aku à qui il révèle tout, à qui il est capable de donner sa vie. Il est du genre à le harceler s’il le faut pour qu’il l’aime, à tout lui demander mais il tache de rester discret, ce qui est peine perdu. Baïka a aussi tendance à s’appeler par de nombreux prénoms, toujours différents, tout dépend de la personne face à lui. Etant donné qu’il est aussi du genre génie, il arrive à analyser les gens avec simplicité. Ce n’est pas pour rien qu’il a été choisi pour faire parti de la TA.
Quand il est à l’intérieur de Sudden Game, c’est une réincarnation. Il se sent enfin libre de faire ce qu’il souhaite, de s’amuser, de s’échapper, tout en sachant qu’il est tout à fait manipulé par les grands maîtres du jeu. Mais il s’y sent bien, comme s’il aimait se faire manipuler dans ce genre d’endroit. Pourtant, il déteste se faire avoir, se mettant en colère à chaque fois qu’il perd. Et à chaque fois qu’il est en colère, il ne vaut pas mieux être dans le coin. Une chose le calme, sentir les vibrations d’une basse 5 cordes lui faire vibrer les tripes.
Autres :
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Histoire : 20 lignes mini


Baïka s’allongea sur le canapé, faisant de grands gestes comme s’il était particulièrement heureux. Il avait bien souvent des rendez-vous avec son psychologue, pourtant, il ne le faisait pas exprès.
« Vous êtes sur que l’on doit tout reprendre à zéro ? Que je dois tout vous résumer ? » demanda-t-il d’un air amusé. On avait pas l’impression que ça ne le dérangeait tellement.
« Soit ! Je vais vous raconter. Je vivais dans un grand appartement que l’on pouvait se payer avec toute ma famille. On n’avait pas d’autres possibilités, on était 9 dans un espace de 6 pièces. C’était un luxe pour nous qui venions d’un pays voisin par bateau. Mais bon, on va dire que mon oncle et ma tante travaillaient, ma mère aussi et mon père était au chômage. Ma cousine, quant à elle, était dans une école spécialisée pour fille, mes deux frères étaient dans une sorte de SEGPA et ma sœur était à l’université. Moi, j’étais dans un collège pour garçon très stricte, vous voyez ? Le genre de collège où l’on n’a pas le droit de faire un seul bruit, où l’on doit se tenir droit et ne pas avoir une attitude indécente ? J’y étais… »
Il esquissa un sourire amusé et se lécha les lèvres.
« Ils étaient tellement bons, ces garçons en uniforme… Ils étaient bien foutus et j’avais la chance d’être assez efféminé comme garçon, tous ceux qui présentaient de l’homosexualité étaient attirés par moi. Les autres préféraient se masturber devant des cahiers d’actrice porno. Rapidement, j’ai découvert le sexe et les vices de la scolarité stricte. J’étais le meilleur élève de mon école, j’arrivai à m’infiltrer dans le collège des filles où je rejoignais les filles… Vous pensez sans doute savoir ce qui se passait avec elles…. Vous avez raison, elles étaient toutes folles de moi ! Je les baratinai de compliments exquis et réussissais à toutes les avoir. Celle qui y passait le plus souvent était ma cousine qui s’était totalement donné à moi dans tous les domaines. Elle était folle de moi à la folie, la véritable folie… Ce qui me poussait à être comme ça ? J’en avais marre de recevoir les corrections de mes parents, j’en avais marre d’être enfermé. Tellement j’étais enfermé que je m’en révoltais de manière plutôt étrange. Oui, j’étais devenu nymphomane. En même temps, j’arrivai à hypnotiser tout le monde avec mes beaux yeux. »
Il se tourna vers le psychologue et le fixa.
« Comme les votres… »
Puis il se rallongea.
« Mes parents ne faisaient que me battre et j’en avais marre de l’ambiance de la famille. Mon grand père m’avait filé des trucs pour que je m’échappe en douce de l’appartement. Il m’avait aussi indiqué où je pouvais trouver de la drogue. C’est là que commença mes premières injections d’héroïne… C’était le paradis mais mes parents n’étaient pas du même avis. Ma mère devint folle, littéralement folle et décida d’empoisonner mon grand-père avec des gélules de cyanide de potassium qu’elle avait caché dans ses médicaments. Bouleversé par sa mort, j’ai demandé à ma cousine d’un air désespéré, cet air où elle ne pouvait rien me refuser du tout de tuer tout le monde. Elle était totalement manipulée ! Et elle le fit ! »
Baïka se mit à rire aux éclats.
« Quel triste spectacle s’était… Je vous fais une confidence, ma cousine s’est suicidée après en avalant les gélules de cyanure ! Une belle mort, je l’avoue… Quant à moi, j’avais atteint l’âge de 17 ans, j’avais fait de très bonnes économies vu que je volais tout ce que je voulais donc j’avais pu me payer un appartement en location avec d’autres personnes qui étaient musiciens. On fonda rapidement les « Kene-r-dy » mais je fus rapidement intéressé par le jeu, vous savez, c’est un jeu sympa, le Sudden Game. Je m’y sentais comme chez moi, je vivais dans un espace magique ! C’était tellement bon d’y voguer ! »
Il poussa un petit soupir satisfait.
« Vous savez, monsieur Kimitsu, vous pourriez venir participer un jour, je vous montrerai plein de beaux recoins… Le groupe prenait de l’ampleur au fur et à mesure et moi je continuai de me balancer de la cocaïne dans le nez et je faisais toujours en sorte d’être un resquilleur au Sudden Game. Je m’y adonnais totalement, j’aurais pu y laisser ma vie s’il le fallait ! Mais je ne pouvais pas continuer avec les tournées qui s’annonçaient avec le groupe. Du coup, j’ai décidé de rester pour le jeu. Mais c’était pas facile pour moi de vivre comme ça, sans argent et de consommer ma drogue, ma chère drogue… je ne pouvais plus en acheter, j’étais devenu fou, fou furieux, comme si mes nerfs… Oui comme s’ils ne devenaient que des flammes ! Et j'ai commencé à cogner tous les gens qui étaient à côté de moi avec une fureur telle que je leur dégommai le visage au passage ! Mais les forces de l'ordre m'ont attrapé... C'est triste. Ils m'ont décrété fou, cette bande de loubards ! Mais j'ai réussi à capter le juge, faisant descendre ma peine de prison psychiatrique de 15 ans ferme à 3 ans ferme avec accès au jeu du Sudden Game quand je le pouvais !»
Baïka esquissa un long sourire, comme s'il était heureux.
« Mais ce n'était pas facile... Je ne vous souhaite pas d'entrer dans un hôpital psychiatrique ! Vous ne pouvez pas vous servir de vos mains et de vos bras à cause des camisoles... Mais j'y ai survécu, ils m'ont fait sortir. En même temps, vous me suivez depuis que je suis entré dans l'hôpital donc vous le savez... Vous savez la suite ! J'ai passé 3 ans en prison psychiatrique à douiller et puis j'ai pu en sortir... J'suis retombé dans la drogue, oui, c'est vrai mais j'ai trouvé un métier ! J'suis devenu un cuistot parce que je suis un vrai cordon bleu... Il faudrait qu'un jour, vous vienez, que je vous fasse un bon petit plat. »
Le garçon regarda l'heure.
«Mince, il est déjà l'heure de se quitter, Mr Kimitsu...»




Comment avez vous connu le forum : Par Aku
Vos disponibilités : Tous les soirs sauf le lundi soir.
Votre email : Adresse Prise.

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